Le réchauffement climatique sera le genre humain
Nous avions déjà pu observer, lors des élections de juin 2007, que les verts belges prônaient la disparition de l’économie de marché (du moins du peu qu’il en reste). Alors, communistes, les écocolos ? Il va falloir s’y faire, mesdames, messieurs : le communisme, ce monstre ringard et mortifère, avance désormais masqué.
Remémorons-nous les origines et Marx, ce noble penseur :
Or, que nous a apportée la philosophie verte, depuis sa percée en Belgique ? Des taxes, des redevances, des taxes et encore des redevances. Il y a quelques mois, je vous avais déjà cité une vingtaine de spoliations écologiques. Désormais, un conflit créé de toutes pièces a envahi les media : le réchauffement climatique. Les grandes institutions politiques internationales, dans l’attente de la mise sur pied d’un énième bazar destiné à recaser un criminel, ont créé ex nihilo un organisme gouvernemental, le GIEC. Pour son auteur-coordinateur principal, Stephen Schneider, le but de l’institution est très simple :
« Comme la majorité des gens, nous aimerions voir un monde meilleur, ce qui se implique ici que nous travaillions à réduire les risques d’un changement climatique potentiellement catastrophique. Pour cela, nous devons avoir des soutiens importants afin de frapper l’imagination du public ce qui suppose bien sûr d’avoir un maximum de couverture médiatique. Pour cela, nous devons proposer des scénarios effrayants, faire des déclarations simples et dramatiques et éviter de mentionner le moindre doute que nous pourrions avoir. »
Or, comment luttera-t-on contre les « risques » d’un danger « potentiel » (et c’est le premier des cons vaincus convaincus qui emploie ces deux nuances de poids) ? Comme l’avait annoncé Guy Verhofstadt en avril lors d’un sommet du GIEC, seule une fiscalité pénalisante peut modifier les comportements. Par conséquent, le mouvement vert entraînera de nouvelles taxes au cours des années à suivre. Mesdames, messieurs, ce que j'avais subodoré en début de billet se confirme : l’écologisme politique est l’ennemi du libéralisme. Il masque en effet l’honteux visage de la pire catastrophe qu’ait connu l’Humanité : le communisme.