Un prix Nobel qui dérange
Comme tout le monde sait, Al Gore, le récidiviste hypocrite du « Do as I say, not as I do », vient d’empocher, en compagnie du GIEC, le Prix Nobel… de la paix. Or, à part les élèves de l’enseignement francophone inquiets des « paix de vache source de réchauffement climatique » et craignant qu’avec lesdits dérèglements « il pleuve comme vache qui peace », nul ne voit trop le rapport que nous pourrions faire entre climat et paix, entre film de propagande et vérité, entre Gore et bienfait.
Récemment, la presse nous a appris qu’un juge anglais, pourtant convaincu de l’origine humaine du réchauffement climatique (d’après l’Immonde), avait infligé un camouflet à l’ancien vice-président des États-Unis. Il ressort ainsi d’un jugement que les erreurs et manipulations de Monsieur Gore couvrent le film d’un bout à l’autre. N’allant pas jusqu’à interdire la diffusion d’ « Une vérité qui dérange » (ce que réclamait le demandeur), le juge Michael Burton a malgré tout reconnu que la plainte déposée contre le film pour cause de « graves inexactitudes scientifiques, propagande politique et mièvrerie » était légitime : le visionnage dans les écoles devra être accompagné d’une brochure « destinée à éviter l’endoctrinement des enfants ». Celle-ci reprendra les différentes thèses au sujet de neuf points litigieux montrés du doigt par le juge, parmi lesquels la montée des mers de six mètres à cause de la fonte des glaces, la responsabilité du réchauffement climatique dans la formation de l’ouragan Katrina (!) ou encore les racontars à propos d’ours et d’atolls noyés à cause du réchauffement climatique.